Voyage à Venise : jour 2 — Ecrit par Stephanie
S’il y a un coin à ne pas manquer à Venise, c’est le quartier San Marco avec sa célèbre place : la piazza San Marco. Nous avons commencé par monter (enfin, nous avons pris l’ascenseur) en haut du campanile (6 €) d’où nous avons une vue imprenable sur Venise. En haut du campanile, nous sommes à 98,50 mètres de hauteur. Ce campanile servait jadis de phare et de salle de torture.
Ensuite, nous nous sommes dirigés vers la basilica San Marco. Et là, débardeur, short et sac à dos sont interdits. Mais on peut laisser nos sacs à dos dans une batisse ou une vieille église dans une petite ruelle proche de la basilique.
L’intérieur de la basilique est magnifique mais très différente de nos cathédrales. En effet, on ne peut voir aucun vitrail mais par contre, le sol est couvert de mosaïques géométriques et les murs sont couverts de peintures avec une dominante de doré.
L’entrée de la basilique est gratuite par contre, pour faire la visite complète, nous devons payer pour voir le musée de la basilique, le trésor (2 €) et le Pala d’Oro (1,50 €). Personnellement, nous avons vu que les 2 derniers. Le trésor est constitué d’objets en or, de calices magnifiques et de nombreux reliquaires. Le Pala d’Oro est quant à lui un magnifique retable d’or incrusté de nombreux joyeux.
Après la basilique, nous avons visité le palais des doges (11 €) avec sa façade remarquable et ses salles somptueuses et de dimension gigantesque. En effet de nombreuses salles sont couvertes de tableaux vénitiens et de superbes sculptures. Ce qui caractérise l’intérieur de ce palais, c’est quand même des pièces très chargées à causes des nombreuses œuvres au plafond et au mur.
Ensuite, nous sommes promenés dans les nombreuses petites ruelles du quartier San Marco pour tomber sur l’originale façade du Scala Contarini del Bovolo.
Et enfin, nous avons marché vers le célébrissime pont des soupirs que nous avons admiré à volonté, et que nous avions déjà traversé de l'intérieur lors de la visite du Palais des Doges.
Pour la petite histoire, ce pont qui relie le palais des Doges aux prisons, s’appelle ainsi à cause des derniers soupirs poussés par les condamnés qui voyaient pour la dernière fois le ciel et la mer.
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